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Diagnosis, epidemiology and control of an enteric myxosporosis of commercial mediterranean fish

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Gestion du contrôle des maladies pour les dorades

L'agriculture intensive de tout type est source de problèmes inhérents, qui peuvent cependant être potentiellement résolus à l'aide d'une gestion appropriée. Suite à une étude européenne, les partenaires du projet ont établi une liste de recommandations visant à minimiser la propagation des myxosporosis au sein d'aquacultures marines.

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Cette étude épidémiologique visait à révéler les relations entre l'exposition aux agents biologiques, au stress ou à l'environnement physique et la mortalité ou la morbidité causées par le parasite E. leei. Dans le cas du contrôle des maladies, la phase la plus importante consiste à empêcher l'entrée de stades infectieux dans l'environnement de la pisciculture. Afin de réaliser cette étude, l'utilisation de stocks sains ayant été testés rapidement et de façon précise, ainsi que les études relatives à la qualité de l'eau ont été recommandées par le rapport. Un régime de gestion strict a également été exposé en vue d'empêcher la propagation et la croissance du parasite. L'étude du cycle de vie du parasite et de ses préférences et exigences environnementales réalisée dans le cadre du projet a naturellement constitué la base des recommandations. Parmi les points importants de l'étude, il fallait éviter la température optimale du parasite et commercialiser le produit relativement tôt. La recherche a permis de constater que la prédominance de la maladie augmentait en fonction de la taille du poisson. Par conséquent, la vente du poisson aussi tôt qu'économiquement possible était vivement conseillée. Le secteur de l'aquaculture marine était dans le passé dominé par la dorade royale. Cependant, au cours des dernières années, d'autres espèces, dont le sar à museau pointu appelé D. puntazzo, sont également devenues très populaires. Toutes les recommandations de l'étude englobent non seulement la dorade royale mais également le sar à museau pointu. Cette étude a mis l'accent sur le contrôle libre de ce parasite sans produits chimiques à l'aide d'une gestion minutieuse des stocks de poisson, en tenant compte des exigences naturelles au cours du cycle de vie du parasite. Sa mise en oeuvre pourrait permettre d'éviter d'importants déficits économiques dans l'avenir de l'industrie de l'aquaculture marine.

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