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Integrating Microbial Evolution into Biogeochemical Models to Predict Soil Response to Drought

Description du projet

Comprendre la réaction des sols face au changement climatique

Les émissions de carbone du sol sont sensibles au changement climatique. Elles pourraient être réduites grâce à de nouvelles pratiques de gestion des terres, mais il importe pour cela d’être en mesure de prévoir les conséquences de la rétroaction carbone-climat au niveau du sol. Toutefois, les prévisions établies par les modèles existants de carbone du sol à grande échelle diffèrent fortement et révèlent de grandes incertitudes quant aux processus en jeu. Une de ces incertitudes est l’effet du changement des régimes de précipitation sur la décomposition de la matière organique du sol par les micro-organismes qui y vivent. Le projet GLOBALECOEVO, financé par l’UE, entend intégrer des fonctions variables de décomposition-humidité dans un modèle de carbone du sol à grande échelle afin de refléter l’historique des précipitations et l’influence du substrat de carbone sur les réponses microbiennes aux changements d’humidité du sol. Le modèle utilisé pour calculer ces fonctions tiendra compte à la fois des processus écologiques et évolutifs. Le projet apportera un éclairage supplémentaire en matière de réponse des sols au changement climatique.

Objectif

Soil is both the largest sink and source of organic carbon (C) exchanged with the atmosphere. These exchanges result from biological processes, the primary source being the decomposition of soil organic matter (SOM), which is controlled by physical factors such as climate. As such, soil C emissions are very vulnerable to climate change but can also be reduced with new land management practices if we can predict the outcomes of soil carbon-climate feedbacks. However, predictions from the existing large-scale soil C models strongly diverge, and reveal large uncertainties in the processes and controls at play. One of these uncertainties is the effect of change in precipitation regimes on SOM decomposition mediated by soil microorganisms. Functions describing the decomposition response of soil carbon to soil moisture are static in current large-scale models, yet recent empirical studies show that decay responses under new soil moisture conditions can change due to shifts in microbial communities. Recent evidence suggests that evolution is a key processes driving these shifts in microbial communities.
This project proposes to integrate variable decomposition-moisture functions into a large-scale soil C model to reflect precipitation history and carbon substrate influence on microbial responses to changing soil moisture. These functions will be calculated from a mechanistic microbial model that accounts for both ecological and evolutionary processes. The mechanistic model will be an updated version of the trait-based model DEMENT developed by the fellow’s supervisor at the partner institution (UC Irvine). The moisture response functions will be integrated into a commonly used soil carbon model, RothC, that has been incorporated into the global land surface model (ORCHIDEE) of the host institution (LSCE).

Coordinateur

UNIVERSITE DE VERSAILLES SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES.
Contribution nette de l'UE
€ 257 619,84
Adresse
AVENUE DE PARIS 55
78035 VERSAILLES
France

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Région
Ile-de-France Ile-de-France Yvelines
Type d’activité
Higher or Secondary Education Establishments
Liens
Coût total
€ 257 619,84

Partenaires (1)