Le marketing des graffitis numériques
Au niveau mondial, le smartphone est devenu le principal outil de communication. C'est à lui que les sites de réseaux sociaux doivent leur succès, en apportant un lieu d'interaction entre les personnes. Les utilisateurs de ces sites créent et participent à des communautés partageant certains intérêts. Le développement des réseaux sociaux témoigne de l'envie des gens à partager leurs idées et leurs vies. Le projet DIG (Digital interactive graffiti) avait pour but de permettre à chaque personne et chaque entreprise d'écrire sur les murs (numériques) d'une ville. Tout le monde peut ainsi écrire sur ces murs et laisser des messages aux autres. Ceux qui veulent lire ces messages ont la possibilité d'appliquer des filtres pour s'assurer de ne voir que les graffitis susceptibles de les intéresser. Pour lire ou écrire sur un mur on utilise des étiquettes de localisation, comme des codes QR ou des marqueurs GPS. Au niveau mondial, les entreprises essaient de comprendre les réseaux sociaux et de les utiliser à leur avantage. Ils peuvent ainsi servir pour obtenir des informations sur le consommateur, comme ses opinions sur un produit ou les catégories les plus susceptibles d'être intéressées. Ils peuvent aussi servir à faire de la publicité. Les outils de DIG permettraient aux entreprises de tirer parti des réseaux sociaux pour augmenter leurs profits. Ces informations sur le consommateur pourraient servir à augmenter les ventes en trouvant davantage de personnes du même type. La plateforme peut aussi servir pour évaluer l'intérêt potentiel en mesurant le temps passé sur la page avec le graffiti puis en proposant une meilleure offre, par exemple un autre hôtel ou lieu de vacances.
Mots‑clés
Graffitis numériques, graffiti, communication mondiale, réseaux sociaux, codes QR, informations sur le consommateur